Une délégation de la Fédération des entreprises du Gabon (FEG), conduite par son président, Henri-Claude Oyima qu’accompagnait le Vice-président en charge des Infrastructures a récemment été l’hôte de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). C’était à l’occasion de la 2ème édition de la Rencontre des Entrepreneurs Francophones 2022 (REF22) qui été couplée à la 10ème édition de la CGECI Academy a eu lieu du 27 au 28 octobre 2022.
La délégation de la FEG a ainsi pris part à l’Assemblée générale de l’Alliance des patronats francophones (APF), qui regroupe 28 organisations patronales de pays francophones. Une alliance multilatérale et internationale qui vise à renforcer les liens entre entreprises et économies francophones de façon concrète et opérationnelle.
L’Alliance a mis en place sept Groupes de travail thématiques (GT) et identifié plus de 20 livrables. A chaque idée est associé une production concrète qu’il s’agisse d’une étude de faisabilité, d’une analyse détaillée, de propositions concrète ou d’action collectives à mettre en œuvre.
Il s’agit des infrastructures et grands projets ; la libre circulation ; la transition écologique et RSE ; la banque, finance et capital ; de l’investissement et co-investissements, de la formation professionnelle et enfin du numérique.
Il convient de noter que ces assises d’Abidjan ont aussi permis à Henri-Claude Oyima de présenter à plusieurs de ses homologues présidents des organisations patronales ayant pour langue de communication le français, les nouvelles ambitions et orientations stratégiques de la Fédération des entreprises du Gabon.
La présence des décideurs politiques, des institutionnels, des organisations internationales ainsi que les principaux bailleurs de fonds de la sous-région à cette rencontre a constitué une opportunité pour le président Oyima de prendre attache pour d’éventuels partenariats.
Lors de cette rencontre d’Abidjan, plusieurs sujets majeurs ont également été abordé. Notamment ceux qui touchent au développement du secteur privé. A l’issue des travaux les participants ont émis des propositions concrètes pour renforcer considérablement le climat d’affaires de l’espace francophone.
Plusieurs d’entre elles nécessitent l’appui de nos gouvernements. Cela, en vue de favoriser la circulation des biens et des personnes dans l’espace francophone pour lequel la création d’un visa d’affaires francophone est une nécessité absolue.