La vente a été annoncée ce 27 octobre 2021. En effet, la société détenait auparavant une participation de 32,28 % dans le bloc offshore de la RD Congo via Teikoku Oil (RD Congo) était engagée dans le développement et la production de pétrole brut.
La société a acquis les droits miniers de ce bloc en 1970 et a commencé à produire du pétrole brut en 1975. De nombreux champs pétrolifères ont été découverts depuis et le bloc a fait l’objet d’activités de développement et de production. Cela a contribué à l’expansion durable des activités en amont d’Inpex.
En décembre 2017, un accord a été conclu avec le gouvernement du pays pour prolonger la durée de l’accord de concession de ce bloc pour une période de 20 ans à compter du 21 novembre 2023, prolongeant sa durée de vie jusqu’en novembre 2043.
Les champs pétroliers producteurs du bloc sont situés au large de la côte ouest de la République démocratique du Congo.
Inpex explique que la décision de vente de ses parts dans l’opération a été prise en raison d’une baisse significative de la productivité, ce qui est attendu, étant donné que plus de 45 ans se sont écoulés depuis le début de la production.
La société ajoute en outre que du point de vue de l’optimisation de son portefeuille d’actifs, le manque de perspectives d’expansion des opérations dans le bloc et ses environs contribue également à la baisse.
Inpex affirme aussi que l’impact de cela est minime sur ses résultats financiers consolidés et a déjà été pris en compte dans les résultats financiers consolidés prévus pour l’année se terminant le 31 décembre 2021.
La société a l’intention de s’engager de manière proactive dans des réformes de la structure énergétique vers la réalisation d’une société à zéro carbone tout en s’acquittant de ses responsabilités pour le développement et l’approvisionnement stables en énergie.
Dans les dernières nouvelles de l’entreprise, Inpex et Osaka Gas ont annoncé leur intention de lancer une entreprise de développement technique sur l’application pratique d’un système de méthanisation du CO2 pour la neutralisation du carbone du gaz.