Un engagement croissant des dirigeants du continent en faveur d’un accord de libre-échange stimulera les efforts visant à créer la plus grande zone de libre-échange au monde.
«Il y a de la lumière au bout du tunnel», a déclaré Mukhtar Abdu, Directeur du département de l’industrie et du commerce à la Banque africaine de développement (BAD).
L’accord sur la zone de libre-échange continentale africaine (APECA), ratifié par 22 pays en avril, un an après son lancement à Kigali (Rwanda), est conçu pour stimuler le commerce intra-africain dans le cadre des efforts de transformation des économies régionales.
Ce qui n’est donc pas un simple hasard, si la Banque a tenu ses réunions annuelles 2019 à Malabo, en Guinée équatoriale, sur le thème: «Intégration régionale pour la prospérité économique de l’Afrique». Les principaux décideurs, dirigeants d’entreprises et donateurs multilatéraux ayant assisté à cette conférence ont compris l’intérêt d’un engagement plus fort en faveur de l’intégration.
